L’idée est simple : comment raconter au jour le jour la relation entre deux hommes qui s’estiment et se méprisent, se confient et se trahissent, s’affrontent et s’aident, se soupçonnent et s’aiment et ainsi de suite. C’est la vie. Interprétée par dix hommes sur scène, sans une femme.
L’Anglais Michel Frayn a illustré cette fable par une intrigue politique qui fut vécue entre Willy Brandt le (suite…)