Ainsi la Canicule engendrait chez les meilleurs une stupeur émolliente, une acédie pâteuse, un excès procrastinatoire qu’on pouvait prendre pour une sagesse taoïste, celle du laissez-couler.
Un verre d’eau fraiche à la main (boire, boire! disait-on) on empruntait la Voie, les dernières vagues médiatiques clapotaient, s’échouaient sur le sable, quelques bulles, de la mousse, puis s’évaporaient.