Bernard Maris: “Ce sont des montagnes de déchets que nous accumulons et que nous offrons à nos enfants. Pourtant cette génération – la nôtre encore une fois – fait mine d’adorer et d’idolâtrer ses enfants…Comment ne pas voir l’incohérence de ces parents conduisant leurs enfants adorés en 4.4 à l’école, souillant l’air qu’ils respirent…Comment peut-on se moquer à un tel point de ses enfants ?…Cette génération n’aime pas ses enfants. Elle les déteste…inconsciemment, elle est assez contente de faire crever la Terre. Elle projette sur ses enfants, sur la Terre, son angoisse de vieillir et d’enlaidir, et tout simplement de disparaître.”