Il était d’usage, qu’avant de reprendre sa route, le voyageur rédige en quelques mots sur une bande de papier, un testament.
A cet effet,on veillait à ce qu’encre et eau, pinceau et calame soient toujours disponibles.
Un écritoire et un plumier laqué l’attendaient dans les bambous.
Le vent et le soleil se chargeaient du reste…